Quelques heures passées dans ce petit patelin plein de surprises, encore vivant (mais de moins en moins pour celui qui y passe d’une année sur l’autre et constate le manque de fréquentation et la fermeture inéluctable des commerces mis, selon certains, en vente à des prix exorbitants pour le lieu.)
Il n’empêche qu’un certain charme suranné se dégage encore, un parfum de dame en noir, un lieu de villégiature en train de devenir un cimetière.
Sadness.
AK Pô
16 06 2013